31 décembre 2011

Cerise #12

L'espace d'un instant, je vais me transformer en chroniqueuse beauté pour vous parler d'une cerise que bien des femmes connaissent. Je vais vous parler de l'Huile Prodigieuse de Nuxe. Les parents de l'Homme m'ont offert à Noël le coffret Nuxe contenant la Crème Prodigieuse, l'Huile Prodigieuse, un échantillon de l'huile pailletée et une bougie sentant comme l'huile.

Autant vous dire que je partais avec une super impression car sa réputation n'est plus à faire et avec une légère appréhension car j'ai la peau hyper sensible.

Sur le pschitt c'est marqué "visage-corps-cheveux". J'ai donc testé l'application corps et cheveux.
Pour le corps, je suis hyper contente, l'huile pénètre instantanément (c'est l'avantage de l'huile sèche) et ne laisse pas le corps poisseux. Le parfum est envoûtant et l'huile hydrate parfaitement même les zones bien sèches de mon anatomie (coudes, genoux, talons). Je suis vraiment ravie de cette huile qui me fait envie depuis des mois.
Et puis j'ai essayé pour les cheveux, mais comme je ne suis pas chez moi, je n'ai pas mon sèche cheveux habituel et là (c'est le drame) j'ai le cheveu qui devient tout  poisseux alors que je n'ai mis de l'huile que sur les pointe et encore, une mini dose!

L'huile devra donc subir un second test at home pour vérifier si c'est moi qui suis empotée ou alors l'huile trop riche pour mes cheveux

En aparté, j'ai utilisé la crème prodigieuse que je trouve hyper agréable: parfum léger, texture onctueuse, hyper hydratante. Je pense l'utiliser plutôt le soir en cas de peau sèche car je la trouve un peu trop riche pour le matin. Même après dix minutes la crème n'avait pas parfaitement pénétré, produisant des paquets de poudre à certains endroits... Pour le moment je vais donc rester à ma Crème Hydratante Avène antirougeurs contenant un indice 20 de protection pour garder mon teint de porcelaine.

Allez je retourne à mes bouquins!
Bonne journée!
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Métronome

Noël est passé et ce soir c'est la Saint Sylvestre, de mon côté ce devrait être plutôt calme, petit repas familial et couché à 00h30 au plus tard. Bref, je ne serais pas dans la catégorie grosse fêtarde comme l'an dernier.

Ce qui est bien, c'est qu'à Noël on a des cadeaux et que j'ai enfin reçu le livre attendu comme le St Graal. Je vous le donne en mille: Métronome de Lorànt Deutsch.

Je partais avec un a priori extrêmement positif, j'aime l'acteur et je l'avais déjà entendu parler à plusieurs reprises de Paris, de sa passion. Et moi quand on me parle passion, ça touche mon p'tit coeur de ménagère de moins de trente ans (aucun rapport).
J'ai donc lu avec attention ce condensé de l'histoire de France vue de Paris. On plonge dans le métro parisien et on remonte le temps. Je trouve ce livre intelligent car il rend tout ce que je trouvais rasoir à l'école hyper intéressant: il y a des anecdotes croustillantes et l'auteur nous fait sentir l'atmosphère. Paris suinte tout au long des pages. J'ai eu envie de prendre le premier train pour Paris et d'aller voir. Par chance, j'y  ai un peu vécu et j'ai pu me repérer assez facilement.

Maintenant je sais qu'il existe la version illustrée, et je pense me la faire offrir pour être plus précise dans mon imaginaire. Je trouve franchement agréable quand un livre historique est aussi documenté. J'ai senti le travail derrière et cela mérite un bon point. L'écriture est fluide, j'entends presque la voix de l'auteur en lisant.

Je n'ai que de bonnes choses à vous dire dessus, et qu'un seul conseil: si vous aimez Paris, si vous aimez l'histoire alors FONCEZ!
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26 novembre 2011

Cerise #11

Vous l'aurez bien compris, mes goûts musicaux sont des plus éclectiques.

Avec une enfance où mes frères écoutaient pour l'un du grunge, de la jungle, du hip-hop (et j'en passe),
pour l'autre de la pop-rock, du r'n'b.
Et  avec el padre de la chanson française pure et dure.

Mes oreilles n'ont donc pu que s'ouvrir à tous les sons que l'on me proposait.

Aujourd'hui une chanson que mon paternel pourrait écouter en boucle en ce moment.
L'histoire est jolie et mon coeur de midinette fond, j'aurais été une sacrée groupie quand  
Serge Reggiani a sorti "Il suffirait de presque rien"



Pardon pour le clip, mais c'est le seul qui rende vraiment justice à la voix du chanteur :)
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Cerise #10

Bien le bonjour à toutes et à tous,

Aujourd'hui une bien jolie chanson de Bénabar que j'affectionne particulièrement.
L'écriture est ciselée, le sujet est délicat et pourtant  traité avec justesse.
Je crois qu'un peu toutes les filles se reconnaissent dedans, les périodes de légèreté et les souvenirs qu'on en garde.
Le regard des autres et la médiocrité du coeur.

Bref dans mon esprit tout y passe, je l'écoute quand je remets les pendules à l'heure, pour mesurer le changement qui s'est produit entre l'adolescence et la vie d'adulte.

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03 septembre 2011

Féminité...

Depuis un petit moment, je me pose la question de la féminité.
Je ne me sens pas ultra féminine et pour le reste du monde, je suis une fille féminine mais pas trop.
Je me sens comme une fille même si parfois j'ai des réactions en décalage avec ce que l'on pourrait attendre de moi.

Et puis c'est quoi être féminine?
C'est parler de fringues en se faisant les ongles devant une série dite "de fille"?
Là on vire au cliché.

Je vais tenter de faire court et concis (mais je crois que c'est mort d'avance...).
Dans mon cas, j'aime bien les fringues, j'en maitrise le vocabulaire mais ce n'est pas pour autant que je me rue sur le dernier it vêtement du moment. Je ne mettrais pas des sommes abracadabrantes dans des fringues mais je suis prête à payer le prix si je considère que la qualité y est.
J'aime bien le vernis et le maquillage, mais pour moi, c'est uniquement le week-end parce qu'en semaine le combo poussière/make-up ne font pas bon ménage, et vernis/gants en plastique + produits ménagers non plus...
J'aime bien les films dits de "fille" mais je peux regarder et aimer autres choses.

Pendant des années, j'ai été pour le reste du monde un petit rat de bibliothèque alors qu'à l'époque j'aimais déjà toutes ces choses mais je ne le montrais pas. Bien entendu, l'adolescence et toute cette période pleine d'expérimentations forge en partie ce que l'on devient à l'âge adulte.
Je n'allais pas, pour faire plaisir aux gens, continuer de me "mochiser" parce que dans l'imaginaire collectif (ce qu'on appelle communément un cliché) un rat de bibli, une intello (à lunettes en plus, imaginez!) c'est forcément pas trop joli.

Maintenant, en tant que jeune femme j'essaie de m'assumer telle que je suis. C'est à dire pleine de contradictions.
J'adore lire,de la bonne littérature et des magazines pour détendre mon neurone quand il est over-stressé. Je ne suis pas fan de manga, mais j'aimerais bien en trouver un pour mettre les pieds dedans.
Je suis accro à mon ordi, je suis un peu geekette sur les bords, mais j'aime bien.

Et puis, finalement je crois que je suis féminine, même s'il m'arrive de croiser d'autres filles et de me dire "jamais je n'arriverais à de tels excès". Et parfois je ne le suis pas du tout quand je me mets à parler comme un charretier en me tenant n'importe comment.

Je suis une féminine de l'instant et une féminine de "l'autre", car ce qui me rend, et rend probablement féminine toute autre fille, c'est le regard que porte le reste du monde sur notre façon de montrer que l'on est femme.
Et pour ça, pas besoin de talons aiguilles.



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22 juillet 2011

Cerise #9

Parmi les petits plaisirs de la vie, celui du manger bon est l'un de mes préféré.
Je crois que l'Homme y est pour beaucoup, il m'a appris à savourer les bons ptits plats. Depuis bientôt trois ans je suis devenue  friande de saveurs, de gôuts...bref, de BON.

C'est pourquoi aujourd'hui, je viens vous parler d'un restau découvert lundi dernier. Ma maman m'en avait vaguement parlé. Et nous n'avons pas été déçus.

Si vous êtes à Saint-Brieuc ne loupez  pas Le Koadenn.

Vous rentrez dans la galerie et au fond se situe ce petit restau. Petit mais pas tant que ça, deux salles de bonne tailles composent le restaurant, dont l'une est animée par la grande cheminée où crépite un bon feu de bois (et un lundi de juillet quand il pleut à torrent, on sait l'apprécier...).

Au menu, c'est traditionnel: galettes, crêpes, mais surtout cuisine au feu de bois.
 Pour que vous ayez un aperçu, voici ce que nous avons choisi, nous étions trois pour une soirée de détente familiale.

Ma maman a choisi une brochette de poulet au citron grillée au feu de bois avec des petites pommes de terres sautées. L'assiette était copieuse, deux grosses brochettes trônaient, les pommes de terres étaient abondantes et une petite salade verte avec quelques crudités ainsi qu'une sauce béarnaise complétaient l'assiette. Bilan: dé-li-cieux! En dessert? Une crêpe au caramel au beurre salé avec une boule de glace de la même saveur: miam!
L'Homme quant à lui, a choisi les magrets de canards cuits au feu de bois accompagné de sauce au poivre vert, de petites pommes de terres rissolées,il avait lui aussi l'accompagnement salade-crudité. Bilan: très bon.
En dessert? Une tarte tatin au caramel au beurre salé et crême anglaise. Délicieux!
Pour ma part, j'ai choisi la hampe de boeuf grillée, sauce béarnaise avec le même accompagnement que mes compagnons de banquet. C'était délicieux, cuit comme je l'avais demandé, c'est à dire saignant.
En dessert? Une perle noire. C'est à dire, une crêpe flambée au Grand Marnier garnie de chocolat noir fondu et de marmelade d'orange. Je n'en suis pas encore revenue....
Le tout accompagné d'un petit Merlot AOC juste délicieux...et d'une carafe d'eau de rigueur!

Ce qui fait de cet endroit une cerise, c'est l'accueil exceptionnel, chaleureux. L'endroit est familial, décoré avec des objets chinés, des ardoises avec des citations.


                                          
Les patrons partent du principe que manger au restaurant doit être un plaisir il n'y a donc qu'un service. On peut manger à son rythme, prendre son temps. Ils servent à partir de 19h30 et reçoivent tout de même jusque tard. Pour encore plus  de commodité, je vous conseille de réserver. Le patron nous a expliqué que comme ça, en réservant un nombre limité de place, cela leur permet de donner le meilleur d'eux mêmes chaque soir.

Donc une seule adresse:
Le Koadenn
9 rue Saint Guillaume
22000 Saint-Brieuc
02 96 61 93 77


Bon appétit!!!!
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17 juillet 2011

Gourmandises

Quand je reviens dans les Côtes d'Armor; il y a un endroit que je ne  peux pas me permettre de louper.

La librairie où mon frère allait et où il me trainait bien malgré moi quand j'étais petiote.
Puis le goût de la lecture est venu et cet endroit est devenu le lieu de référence et de perdition de mes conquêtes littéraires.

Cet endroit, c'est Le Grenier, un peu comme un magasin de bonbon pour les gosses...

Mais rentrer dans cet endroit, c'est aussi se laisser tenter.
Et la tentation a été forte hier, si bien que...je suis ressorti avec 4 bouquins, repérés depuis bien longtemps mais jamais achetés...

Dans le désordre:









Comme vous l'aurez bien compris, bientôt vous en saurez plus.

En attendant, je vais faire ma souris de bibliothèque
(j'aime pas trop les rats, ça fait peur).

Des bisous!
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Par ici mes Demoiselles...

Voilà voilà après quelques jours de lecture me voici enfin arrivée à la fin.


Ce livre m'aura tenue en haleine jusqu'au bout, je me serais inquiètée, prise d'affection, réjouie et mise en opposition avec les quatre personnages principaux des Demoiselles de Provence de Patrick de Carolis.

Pour une fois qu'une quatrième de couverture résume bien le livre, je vous la retranscrit:

"La Provence de XIII ème siècle, pays de troubadours, est une terre très disputée. A force de courage et de ténacité, Raimon Béranger V enn a fait un comté souverain. Son épouse, la séduisante comtesse Béatrice de Savoie, lui a donné quatre filles: Marguerite, Eleonore, Sancie et Béatrice. Leur beauté, leur éducation et leur vertu vont assurer à ces quatre demoiselles de Provence les plus hautes destinées: par mariage elles règneront sur quatre des royaumes les plus convoités d'Europe."

Ce qui m'a plu? C'est une vraie plongée dans le treizième siècle, on est directement absorbé par les décors et l'ambiance que De Carolis a su parfaitement recréer. J'ai  tout particulièrement apprécié que toute la période de l'adolescence des filles soit bien mise en avant, que le mariage y soit si bien expliqué avec ses enjeux. J'ai aimé que les femmes tiennent une place indispensable mais pas dominante. Dans ce roman, elles sont les petites mains des grands moments de l'histoire.

Ce que j'ai moins aimé? Il y a quelques lenteurs dans la narration. J'ai eu parfois le sentiment de m'embourber dans tous les évènements et les personnages au point de sauter des lignes. On sent bien que De Carolis est journaliste ( ce qui est loin d'être un défaut), il est vraiment dans la transcription pour être au plus près de la vérité. Trop de détails tue le détail. La fluidité de lecture en a pris un coup.

En conclusion, un très bon livre pour toute personne voulant se pencher de plus près sur les moeurs de l'époque.
Des personnages attachants et une sensation d'être dans la même pièce qu'eux quand il arrive quelque chose.

Une immersion totale.
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07 juillet 2011

Cerise #8

Bonjour, bonjour!

Avec le temps magnifique qui se présente à moi -le soleil tombe en morceaux par milliers- ça me donne juste envie de rester chez moi à me morfondre.
Ce qui me fait penser à un film que j'ai particulièrement aimé et qui m'a fait découvrir une chanson vintage que Melle Bon Cheap Bon Genre saura certainement apprécier.

Je vous présente donc la version "meumeumée" et "yahourtisée" de Cambodia de Kim Wilde par un Romain Duris en cours de résurrection dans Dans Paris (très beau film de Christophe Honoré s'il en est).



Et voici la vraie version datant de 1982, vintage donc, mais jamais vieillotte... Cette chanson est vraiment une cerise, si je me sens un peu cernée par les petits soucis du quotidien, HOP, je l'écoute et je me sens tout de suite plus "combattive". Je suis certaine qu'on a tous des chansons qui nous conditionnent. Mais celle là, elle est vraiment parfaite.



Bonne journée!
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03 juillet 2011

Cerise #7

En ce moment, je n'arrête pas d'entendre des musiques qui me rappellent mon enfance, de repenser à de vieilles pubs.
Bref, en ce moment c'est séquence nostalgie permanente dans mon cerveau.et je crois que je vais vous faire partager tout ça au fur et à mesure...

L'année de ma naissance Sam Brown chantait Stop et je ne saurais vous dire pourquoi dans ma vie de maintenant, quand j'ai un coup de mou j'ai cette chanson en tête.
Peut être parce qu'elle montre une femme qui affronte ce qui la tourmente. Peut être parce que parfois je devrais un peu en prendre de la graine...

Donc j'adhère totalement à la chanson. Un peu moins au look mais je crois que c'est l'époque qui veut ça...

Je vous laisse donc avec cette voix qui me fout les poils à tous les coups!

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Le cas Gavalda - La suite...

Mes amis, me voilà bien embêtée.
J'essaye tant bien  que mal de me lancer dans La Consolante mais je crois que c'est un échec cuisant...
Dans mon parcours de lectrice j'ai fini par constater que si au bout de 10 pages je n'étais pas "prise" dans la narration, c'était plutôt en mauvaise voie pour le reste du bouquin.

Mais là, ce qui est assez formidable, c'est qu'à chaque fois je dois m'y reprendre depuis le début tellement je n'accroche pas...

La suite au prochain épisode.

En revanche, j'ai trouvé dans un troc Les Demoiselles de Provence de Patrick de Carolis et là j'accroche à mort!  Donc bientôt, vous aurez mon opinion sur ce livre. Mais je suis captivée... Ca ne m'était pas arrivé depuis Saga de Benacquista, donc je suis impatiente d'arriver à la fin!!!!




Bonne journée à vous tous!
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05 juin 2011

Le cas Gavalda

Quand j'étais jeune et belle, j'ai eu ma période "livres faciles".

Je n'aime pas dire que certains livres sont plus aisés à lire que d'autres mais disons que certains offrent une fluidité de lecture et une non-prise de tête bien agréable.

A l'époque, j'ai lu Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda et à la première lecture j'avais adoré. Ca parlait de dessin, d'amour, de relations tordues. Bref, c'était parfait pour l'ado que j'étais.


Du coup, j'ai lu son recueil de nouvelles J'aimerais que quelqu'un m'attende quelque part et même si certains récits étaient intéressants, d'autres me paraissaient lourds, presque mal écrits.

J'ai persévéré en lisant Je l'aimais mais ce fut une catastrophe, la narration s'embourbait et pour moi, ça commençait à freiner sérieusement ma lecture.

A la même époque, le film tiré de Ensemble c'est tout est sorti au cinéma, j'étais alors assez contente à l'idée retrouver des personnages que j'avais tant affectionné. Je ne suis pas une phobique des films tirés des livres, il y a de bonnes et de mauvaises adaptations, j'y allais donc tranquille. Une fois sortie du cinéma, j'étais sceptique, mais le film m'avait laissé une impression plutôt bonne.
J'ai relu le livre. Toujours aussi agréable, j'étais toujours comme dans une bulle à sa lecture.
Et un peu plus tard j'ai revu le film que j'ai juste trouvé mauvais. Etait-ce Audrey Tautou? Aucune idée. Mais le personnage de Camille semblait faux et ça gâchait vraiment tout.


Et depuis ce visionnage, plus rien. J'avais laissé Anna Gavalda sortir des livres sans trop m'en approcher.

Hier, j'ai trouvé La Consolante dans un magasin d'occasion. A trois euros le livre, il me semble idiot de ne pas tenter. J'espère que cette lecture me rabibochera avec l'écriture que j'avais tant aimé.

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19 mai 2011

Cerise #6

En ce moment, c'est ma Cerise sur le gâteau en voiture (même si visiblement ce n'est pas très conseillé).
Une chanson qui file la pêche comme il faut:

Objection (Tango) de Shakira
(le seul soucis de la chanson est son clip qui est vraiment bof bof...)



Shakira - Objection (Tango)NEW par maluciole

Pardon pour mon absence depuis quelques temps, mais soyez sûrs que je vous lis tous avec attention et que parfois je me sens toute petite.

A bientôt
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07 mai 2011

Cerise #5

Ma Cerise de ce week-end est l'un de mes plus gros coup de coeur musical de ces dernières années.

J'aime sa voix, il joue du piano dans le genre "Wow, t'as vu comment ses mains elles vont vite!!" et puis il est pas mal, ce qui ne gâche rien.

Je ne connaissais pas la reprise de la chanson Love is Gone par Peter Cincotti, mais je trouve qu'elle nous montre bien son univers très marqué par le jazz.

Je vous laisse apprécier:


Peter CINCOTTI : Love is gone - MYTARATATA.COM
TARATATA N°239 (Tournage 13/09/07 - France 4 dif. le 23/11/07 - France 2 le 30/11/07)
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19 avril 2011

Le voilà enfin

Je vous en avais parlé au tout début du blog, mais le voici enfin porté: LE gilet!
Il est chaud et douillet. Je l'apprécie beaucoup, même avec le retour des beaux jours car on ne sait jamais vraiment le matin s'il fera beau ou non toute la journée!

J'espère que vous apprécierez cette première photo modesque!

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17 avril 2011

Wish List

Comme tout le monde, j'ai des envies...

Dans le désordre ça donne à peu de choses près ça:

des vêtements Petit Bateau:


de jolies chaussures



pleins d'accessoires...

 Et aussi d'un bon petit repas là, en amoureux:




En bref, j'ai des envies de lecture, de culture, d'art, de mode, de gastronomie...

 Pour faire très court, j'ai envie de BEAU, et de BON.
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09 avril 2011

Cerise #4

Cette cerise sur le gâteau est issue d'un film: Little Miss Sunshine.

S'il y a une scène a retenir du film, c'est bien celle où la gamine se met à danser




Ma cerise se prénomme Rick James et grâce à ce petit bout de bonheur tiré de l'écran, j'ai le plaisir de me trémousser très régulièrement sur le disco/funk de Rick!
Il faut me voir danser sur Superfreak en sautant sur mon lit (oui c'est mal...mais c'est trop bon!)

En aparté, j'ai trouvé ce film formidable j'ai ri et pleuré comme jamais. Cette famille est touchante, des bras cassés comme je les aime. Pour ceux et celles qui n'auraient pas vu le film: trouvez le vite en DVD car vous passerez un très bon moment et en tirerez des leçons plus que positives...
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06 avril 2011

Signe(s) distinctif(s)

Non non, je ne vais pas vous parler du  débat sur la laïcité.

Je vais vous parler de ce qui fait que chacun est unique. Quand on croise quelqu'un dans la rue, la chose qui retient notre attention n'est pas forcément son physique. Il y a des gens qui se démarquent grâce à des accessoires.
C'est mon cas. Je suis quelqu'un de discret pour ne pas dire passe-partout. J'aime l'idée que les gens cherchent un peu avant de me trouver, de trouver la vérité sur ma personne.

Mon signe à moi, ce sont mes lunettes.

J'en porte depuis toute petite (deux ans et demi je dirais...à vue d'oeil-j'ai mangé un clown moi-oula, déjà plus de 20 ans de lunettes!)
Au début, ce sont surtout les grands qui choisissent, puis on finit par émettre une opinion et par choisir.

La contrainte de l'épaisseur des verres est un frein à chaque fois dans le choix de mes binocles. Et puis l'esthétique. Ben oui, parce que bon, c'est bien joli mais mes lunettes c'est tous les jours du lever au coucher et pas de lentilles en alternative car ma vue ne le permet pas.
Alors faut qu'elles soient belles, élégantes et qu'elles affirment un peu ce que je suis...

Et puis, j'ai un truc à avouer, même si les lentilles à ma vue existaient, je ne les prendrais pas. Je suis persuadée que je ne me reconnaitrais pas dans le miroir...  Si la possibilité d'une opération pointait le bout de son nez cependant, peut être que j'y céderais. Mais rien n'est moins sûr...

Tout ça pour dire que quand on est petit cette différence est mal perçue et plus on avance en âge et plus cette différence te fait dire que c'est juste toi.

Je suis très contente de mon modèle de lunette actuelle:

Mais je flippe un peu à l'idée que bientôt, je vais devoir en changer...
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05 avril 2011

La découverte

Certaines choses sont comme des évidences et d'autres pas du tout.
Dans mon esprit tordu, certaines marques ne me sont pas réservées, je ne suis pas la cible. Et pour d'autres, je suis pile dedans.

Bizarrement, quand on parle de marques pour les jeunes on pense Pimkie, Bershka et toute la clique. Personnellement, j'ai du mal à m'habiller là bas. A de rares exceptions près, ma gard-robe ne contient que peu de vêtements de ces enseignes.
Et il y a les autres enseignes. Les prestigieuses dans mon esprit.

Il y a Petit Bateau.


Petit bateau a été un vrai coup de coeur car j'y ai trouvé la petite robe noire parfaite. (Bientôt en photo!)
Je crois que maintenant, je peux me permettre d'acheter des vêtements de qualité supérieure. Vu que le prix du coton va augmenter, j'ai envie de m'offrir de jolies pièces qui durent dans le temps.

Petit Bateau m'offre la garantie de matières nobles qui restent douces. J'aime la sobriété et l'élégance de leurs lignes.

Un vrai coup de foudre.
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27 mars 2011

Cerise #3

Comme vous pourrez le constater, je ne suis pas très présente en ce moment. Pleins de choses à gérer et du coup, pas tellement le temps de poster.
Je vous prie toutes et tous de m'en excuser...
Alors pour me faire pardonner, une chanson de derrière les fagots pour trainer au plumard le dimanche matin alors que la pluie tombe tranquillement...

Donc rien que pour vous, Mellow my mind de Simply Red:


Simply Red - Mellow my mind par manon42

Au passage, l'album A New Flame dont est tiré la chanson est excellent pleins de rythmes divers et variés. On y passe de la pop au reggae sans se poser de question, on se laisse bercer.
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19 mars 2011

Cerise #2

Il y a peu de temps, j'ai eu la chance d'aller voir Yaël Naim en concert.

Mis à part New Soul (que je finissais par zapper à la radio tellement les programmateurs la passaient en boucle) je ne connaissais pas l'univers de la chanteuse.

Par un heureux concours de circonstances, l'Homme a gagné deux places pour son concert Salle de la Cité à Rennes.


Pour tout vous dire, c'était juste magique.
Elle est simple quand elle se présente à nous, le décor est magnifique, l'ambiance est onirique. Sa voix... juste époustouflante. Je suis sortie du concert pleine de frissons. Pour la première fois de ma vie, je peux dire que c'est un concert où j'ai ri (car elle est très drôle la Yaël sous ses airs de pas y toucher) et pleuré (la chanson Today file la chair de poule). J'ai rarement vu quelqu'un autant communiquer avec son public, elle sait offrir une proximité que d'autres n'oseraient jamais.
Et depuis, elle est aussi la cerise sur le gâteau de mes week-ends, elle me rend sereine, cool.

Je vous laisse profiter de cette reprise de Umbrella qui était juste à tomber par terre pendant le concert.

Yael NAIM : Umbrella - MYTARATATA.COM
TARATATA N°369 (Tour. le 21/09/2010 / Diff. France 4 le 30/11/10 & France 2 le 14/01/11)
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18 mars 2011

Pile ou face

Ce soir, je me suis dit "Ma grande, il est temps pour toi de réessayer ton maillot de bain."

C'est toujours un grand moment qui joue le moral à pile ou face, et après essayage de ce maillot (non ce n'est pas moi, il ne faut pas trop en demander à la fois...):


...j'ai été très surprise et super contente! Je suis boostée jusqu'à demain!
Et vous le maillot d'été? Pile ou face pour le moral?
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16 mars 2011

Mon copain Arthur

Quand on me connait bien, on le sait. Je suis une inconditionnelle de Rimbaud.
C'est impossible à expliquer, j'ai aimé presque instantanément.

Tout a commencé quand mon Papa m'a fait apprendre par coeur à 4 ans Ma Bohème.
De fil en aiguille je m'y suis intéressée de plus en plus, je l'ai lu (en bonne partie) et me suis penchée sur le personnage. Au début il était pour moi comme LE rebelle, genre trop beau/trop intelligent/trop spirituel.

Et puis un jour je suis tombée sur un super livre: 


C'était évident, Rimbaud était certainement un casse-pied gigantesque, mais aussi un garçon normal avec ses idées, ses failles, ses envies. Après lecture de cette biographie très bien illustrée avec des extraits de poèmes et de correspondances je me sentais plus en phase avec l'homme Rimbaud et non pas son personnage.

Il faut dire qu'à l'école quand on parle du poète, un certain parti-pris est engagé. "Le poète aux semelles de vent" et bla bla bla. Mais une fois son histoire re-située dans le contexte de l'époque, peut être aurions-nous choisi de prendre le même chemin?

Pour finir, il y a eu une expo à laquelle je n'ai pu assister il y a quelques temps: Rimbaud Mania.
Mais comme je suis entourées de personnes formidables, j'ai reçu en cadeau le livre de l'expo. Et c'est tout bonnement incroyable de voir ce que Rimbaud suscite toujours dans l'imaginaire et la création au quotidien.

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12 mars 2011

Cerise #1

Comme vous l'aurez (largement) compris, j'adore lire, ça me rend sereine, me fait voyager.

Parfois, je n'ai pas envie de me poser bien calée avec un bouquin, mais juste envie de pouvoir me défouler un peu, et voyager grâce à ces si jolies choses qui nous servent d'oreilles.

La musique, c'est un peu la cerise sur le gâteau de mes week-end. Et depuis quelques temps, cette cerise se prénomme Marvin.
Oh yeah! Marvin Gaye!


Mais alors en ce moment LA chanson qui me fait me remuer et onduler c'est bien I heard it through the grapevine. Je trouve qu'elle a un rythme juste parfait pour le week-end.
A la cool, mais en même temps, tellement sexy...


Profitez-en bien!
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09 mars 2011

Philip Roth ou la fascination du féminin.

Philip Roth est mon ami.

Non, je ne le connais pas en vrai mais lui a l'air de bien connaitre mes goûts de lectrice assidue.
Tout a commencé avec la Contrevie, issu du cycle Nathan Zuckermann.
Le personnage principal de ce cycle est pour ainsi dire l'alter-ego de l'auteur. Ce que j'aime dans ce personnage c'est qu'il est à la fois intelligent, cynique, sournois et sensuel. Comme qui dirait, un salopard de première, un gros manipulateur, un coureur de jupon. Il aime les femmes de manière obsessionnelle, elles sont pour lui source de plaisir et d'agacement. C'est un libertin, dans tous les sens du terme.
Bref, j'adore le détester mais... je l'adore. Cet homme, sous ces allures de séducteur toujours en recherche d'affinités a aussi des doutes et des craintes. Il s'inquiète de la politique de son pays, de son rapport au judaïsme, de sa vieillesse.Un vrai homme avec une vraie fragilité. On lui pardonnerait presque ses frasques.

Le livre qui traduit le mieux cet état d'esprit est La Bête Qui Meurt .

D'une sensualité époustouflante, on y retrouve bien la dualité de l'homme qui ne doute pas de sa masculinité mais de sa virilité, pourra-t-il ou non avoir une relation sexuelle? Son corps le lui permettra-t-il?. On y voit vraiment toutes les facettes du personnage. Et sa fragilité face à la maladie, à la vieillesse, aux retrouvailles et à cette femme.

Un très beau livre, même si avec Roth, il faut avoir le coeur bien accroché parfois car il n'y va pas par quatre chemins...
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07 mars 2011

Simone de Beauvoir sort de ce corps!!!

Sur la blogosphère depuis quelques jours seulement, force est de constater que nombres d'expériences se croisent.

Je vois des futures mamans impatientes, des futures maman moins impatientes car elles ont déjà deux "gnomes ou grognards", des mamans en stress. Comme ça, il y a moyen de suivre le stade Maman: "Avant-Pendant-Après". Quand on n'a pas d'enfant (comme moi, pour le moment...) , ça permet de mesurer l'ampleur d'un choix qui vous emmène pour 25 ans.

Mais ce qui est évident, c'est que chaque chose que l'on ressent à l'heure actuelle est un phénomène dit "de société". En lisant le ELLE de cette semaine, ils parlent des difficultés des mères, de la culpabilité qu'elles ont à ne pas réussir comme elles le souhaiteraient dans l'éducation et la gestion au quotidien de leur enfant (on ne souligne pas assez que les enfants aussi ont changé, moi j'étais mimi à 3 ans, pour la génération actuelle,j'ai parfois des doutes...) .

Ce qui me rend dingue c'est que dans une société où l'on réclame que la femme soit aussi polyvalente que l'homme on ne puisse pas fléchir sur quelque chose. Parce que oui, c'est parfois pas si facile de gérer le quotidien, les enfants, le couple. Car en plus d'être femme, il faut être et mère, et amante, et aimante, et gestionnaire. Parce qu'on est capable de faire deux choses à la fois. Parce qu'on est les plus fortes.

Et on appelle la femme "le sexe faible" ?
Comme on dit dans nos campagnes "Bondiou!"

Il me semble que la crainte est normale lorsque ces chamboulements arrivent. On va vers l'inconnu. Et même informées, il est normal à un moment (comme tout être humain normalement constitué) de se poser des questions et de douter sérieusement de ses propres capacités. On ne nous rappelle jamais assez qu'on a le droit à l'échec. En tant que petit boulet de service je passe mes journées à me tromper sur des tas de trucs aussi futiles qu'importants...

Alors mesdames et mesdemoiselles je suis de tout coeur avec vous! Cessez de culpabiliser, les gens qui vous jugent n'en feraient certainement pas le quart...
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05 mars 2011

La Quête

Depuis quelques semaines, je cherchais des chaussures d'hiver de manière intensive. Pourquoi est-ce que je me réveille au mois de février pour ce genre d'achat?

Tout remonte à l'achat d'un slim (mon premier!) chez Promod en décembre dernier, brut avec un léger délavage, c'est exactement ce que je voulais.
Ce que je n'avais pas envisagé c'était qu'il fallait des chaussures spécifiques pour ce genre de pantalon... Tout début janvier, j'avais trouvé une paire de petite bottines lacées pas chaudes du tout, mais disons que pour le prix (20€) l'esthétique était pas mal... J'étais heureuse et épanouie de pouvoir porter mon slim à toutes les sauces. Voilà qu'un malheureux jour de février, CRAC la semelle fendue nette, en deux. Pour le prix, ça ne valait pas le coup de les faire réparer.

Je me suis lancée dans une quête éperdue à la chaussure d'hiver qui aille avec mes slims. Mais cette fois-ci je voulais de la qualité, du confort et de l'esthétique (pas chiante quoi...). Semaines après semaines, j'allais de déceptions en déceptions... D'autant que les collections Printemps/Eté sont déjà bien installées-ce qui me fait bien rire car notre chère Bretagne nous offre jusqu'en avril des températures avoisinant les 4 degrés le matin...- donc pas évident.

Et hier, par une belle fin d'après midi, en allant chez Besson Chaussures regarder les fins de soldes elles sont là. Belles, confortables et abordables (à -50%).
Essayées, validées.
L'hiver peut continuer paisiblement.




bottines Tamaris: 34€
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01 mars 2011

Une question d'élégance

Sur ma route de lectrice invétérée s'est présenté un bon livre, un très bon même.


L'élégance du hérisson de Muriel Barbery bouscule les idées reçues et les codes sociaux qui nous entourent.

Prenez un immeuble avec des familles aussi diverses que variées, une concierge étrange, une gamine un poil taciturne.

Cette concierge est étrange aux yeux des gens de l'immeuble qu'elle garde. C'est une érudite qui refuse de le montrer pour conserver le peu d'intimité que sa loge lui offre, et pour se jouer des locataires qu'elle voit passer tout au long de la journée..
Dans le batiment, une fillette qui se sent incomprise de sa famille, dotée d'une intelligence et d'un esprit critique aiguisé.
Bref les personnages évoluent dans un vrai contexte, un vrai voisinage, Muriel Barbery nous dépeint parfaitement l'ambiance qui règne dans l'immeuble, ses familles opposées, ses clans... On s'y croirait!

Ce que j'ai aimé? Le double-jeu de cette femme entre son érudition et sa condition professionnelle. Cette gamine juste bluffante par ces réflexions. La critique de la bourgeoisie.

Ce que j'ai moins aimé? Quelques longueurs dans la narration.
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28 février 2011

Gris (pas si) souris

Voici le petit dernier que Glawdys (mon armoire) vient de recueillir.


Il est doux, il est chaud, il est moelleux j'ai nommé: le gilet gris!
J'ai été scotchée car en vrai, il est vraiment splendide(bien mieux que sur la photo!), on se love dedans.
Il est aussi approprié avec une tenue décontractée que pour réchauffer une robe un peu légère!
Bref, il est idéal d'autant plus que de là où je vous parle la petite laine est toujours la bienvenue!

Mais (et oui, il y a un mais)  l'entretien de ce gilet est délicat, du coup c'est lavage à la main à froid, séchage à plat! (sinon je risque de le retrouver en taille 2 ans tout déformé!)... mais le jeu en vaut la chandelle!

Bientôt des photos du gilet porté mais en attendant le photographe on se contentera du cintre!

gilet Naf Naf  (prix inconnu, c'est un cadeau de l'Homme)
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27 février 2011

C'est beau une ville la nuit

Ce livre est un bijou. Un bien précieux.
Richard Bohringer à ce sens du rythme qui change tout.
Sur mon édition du livre il est écrit en dessous du titre,en italique, "Blues".


Et c'est exactement ce que l'auteur nous fait passer: son chagrin, sa mélancolie et aussi sa rage,son amour, son orgueil.
Ce livre est musical dans le sens où le blues résonne dans chaque phrase. D'ailleurs, des chansons y sont inscrites.
Ce livre est aussi l'une des plus belles déclarations d'amour qu'un homme puisse écrire à sa femme, ou à sa fille. Ici les deux sont mêlés. Il y a la femme, partie, absente silencieuse et omniprésente dans chaque pensée de l'auteur. Et la fille qui le confronte inexorablement à son propre avenir, à un devenir qui lui semble plus qu'incertain pour lui et pour elle. Puis il y a sa mère...
Il parle aussi du voyage,de la fuite en avant perpétuelle qui le tient en haleine. On entend le ruissellement de la pluie à la campagne, le bruit des voitures résonnant dans la ville. On entend tout. On  respire tout. C'est un livre sensuel. Il nous anime.

Ce que j'ai aimé? Bohringer même quand il n'écrit pas a ce pouvoir de poser des mots justes sur ce qui est. Rien de cinglant, un parler franc, direct. Parfois cru, mais justifié. J'aime aussi la remise en question permanente qu'on ressent au gré des pages, le cheminement personnel de l'homme en tant que père, que mari, que fils, qu'ami...

Ce que j'ai moins aimé? C'est triste, c'est évident. Mais d'une beauté incroyable dans le texte.
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26 février 2011

Saga

S'il en fallait un, ce serait celui là, mon coup de coeur du moment.
Je parle de ce livre là...celui qui m'a tenue en haleine jusqu'au bout, qui m'a presque hantée.  

Saga de Tonino Benacquista.

Pour tout dire, j'ai acheté ce livre l'été dernier, et je m'y suis réellement intéressée il y a peu.
Un peu prise, pas la tête à ça, d'autres lectures en cours. Bref je voulais être disponible pour m'y consacrer pleinement. Mon instinct ne m'a pas trahie,une fois n'est pas coutume, les présentations faites le contenu devient dévorant.

On reconnaît un bon livre quand on y pense dans des moments inopportuns, et quand après la journée de labeur on a juste envie de se jeter dessus.

Pour faire court, le livre raconte la création d'un feuilleton bas de gamme par une équipe de scénaristes hauts en couleurs, tous bien différents. On se prend au jeu de  leurs imaginations, et on suit le feuilleton comme si on y était.
Tonino Benacquista qui est lui même scénariste a ce don de nous montrer la scène. Grâce à ce jeu de l'imagination qu'il sème tout au long du roman, nous devenons nous même scénaristes de la Saga.

Ce que j'ai aimé? La narration simple, la présentation du livre qui ne nous "perd" pas, l'intrigue, la psychologie des personnages poussée à son paroxysme et bien entendu, la critique du système audiovisuel.

Ce que j'ai moins aimé? C'est trop court... je crois que j'aurais juste aimé que ça ne se finisse jamais.
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Parlons peu, parlons bien.

Voici un petit nouveau sur la blogosphère, mais pour parler de qui? de quoi?
Tout simplement pour parler de livres, de musique, de concerts, de fringues, de films, de coups de coeur tout simplement.

En fait, tout ce qui fait la vie de tout le monde au quotidien.
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